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Vos récits de voyages 11

La Dronne, de Saint-Pardoux-la-Rivière à Coutras

Michel66 - 20 déc. 2013
34 messages
Bonjour à tous,

Nous vous proposons un petit « topo » en images pour vous faire découvrir une partie d’une très belle rivière, la Dronne, au cours de notre descente avec Fred19, et Jak91 du samedi 8 au jeudi 13 juin 2013 soit 6 jours pour un parcours d’environ 147 km.
La Dronne est une rivière du sud-ouest de la France qui prend sa source dans le Massif-Central dans le département de la Haute-Vienne (87). Elle est un affluent de l’Isle qui elle-même se jette dans la Dordogne à Coutras.
Nous sommes partis de Saint-Pardoux-la-Rivière dans le centre-nord du département de la Dordogne – 24, à peine plus de 130 m d’altitude, pour finir à Coutras (Gironde – 33) qui doit être à 5 m environ d’altitude.





En passant nous récupérons Jacques à la gare de Thiviers à une vingtaine de kilomètres de Saint-Pardoux. La veille il avait laissé tout son matériel au camping de Saint-Pardoux et descendu sa voiture au camping de Coutras pour revenir par le train ce jour.
Le camping municipal au nord du village n’est pas encore ouvert mais sert pour ce week-end de base pour une manifestation sportive.
Après avoir demandé l’autorisation à des élus locaux je pourrai laisser mon véhicule dans un coin du terrain.
Comme nous sommes en milieu d’après-midi nous décidons de nous équiper et de partir pour naviguer un peu avant le bivouac du soir. Jacques va pouvoir démonter sa tente et quand tout le monde est prêt nous nous lançons sur l’eau en compagnie de quelques participants au raid partis d’un peu plus haut en canoë.






Samedi 8 juin 2013 : Saint-Pardoux-la-Rivière > bivouac 2.5 km av. Quinsac : 8.100 km

Le départ se fait donc vers 16 h avec un temps pluvieux. Dans le village même nous passons deux ou trois seuils que nous franchissons par des déversoirs faciles. Déjà la rivière, assez étroite, semble belle et prometteuse avec ses berges très arborées et sauvages. On rencontre de nombreux arbres cassés dans le lit où un petit courant nous entraîne doucement dans les sinuosités du cours d’eau :








Au km 7 nous passons au moulin du Sablon un premier barrage plus sérieux mais facile par le déversoir :





Peu après nous décidons de nous arrêter pour ce soir sur une berge accueillante en bas d’un pré à vaches. L’endroit conviendra très bien avec un apéro bien mérité pour nos retrouvailles et l’installation de nos bivouacs pour notre première nuitée :




Dimanche 9 juin 2013 : bivouac > Bourdeilles : 27.620 km

(bivouac – Quinsac – Champagnac-de-Belair – Brantôme – Valeuil – Bourdeilles)

Partout c’est la pleine nature avec ses senteurs et les premiers sons du matin dans une campagne qui s’éveille :



des images qui bougent

Quelques centaines de mètres après le départ nous passons déjà un premier ouvrage plus ou moins facilement selon qu’il y ait assez d’eau sur le déversoir ou pas.
Un seuil à Laumède ;



et plus bas, Chez Nanot au barrage de l’ancien moulin :



des images qui bougent

L’arrivée à Quinsac est marquée par le passage sous le pont du XVIIIe siècle aux abords du village ;



et sa sortie par le passage du barrage du Grand Moulin où nous avons dû faire, dans la bonne humeur, un portage en rive gauche :







des images qui bougent

Le parcours au fil de l’eau, avec son cours étroit, ses berges arborées et ses arbres tombés, n’est pas sans rappeler certains passages sur la Leyre au sud du Bassin d’Arcachon :



Le passage du barrage de Racaud :




des images qui bougent

On trouve pas mal d’embâcles et arbres couchés en travers du lit dont la densité pose plus ou moins de difficultés :



Une petite pause à un ancien lavoir à l’entrée de Champagnac-de-Belair :



Le barrage dans le village :




des images qui bougent



En sortie de village juste après le pont la rivière est très encombrée. Les arbres couchés dans l’eau créent une accélération du courant dans les seuls passages possibles. Heureusement nous avions pied pour la manœuvre des passages des embarcations :
des images qui bougent




Le barrage de Verneuil où la végétation sur le déversoir aide parfois au franchissement en préservant un peu le matériel :



Peu après nous arrivons en vue du pont du village, sur la route de Champagnac-de-Belair à Brantôme quelques kilomètres plus bas. Un espace accessible en rive gauche fera très bien l’affaire pour la pause de la mi-journée :






À la reprise en début d’après-midi avec le passage d’un seuil parmi tant d’autres au Bas Gourdou :




À l’approche de Brantôme : le barrage des Roches. Comme d’habitude nous faisons notre petit repérage des lieux et décidons de faire simple en utilisant une mini passe entaillée sur la gauche du déversoir :






des images qui bougent

Très vite arrive le prochain barrage au Moulin de Lombraud :



On peut voir sur la droite de l’image suivante qu’une structure métallique indique le passage à prendre :





On arrive à Brantôme par l’est de la cité dont le centre-ville s’inscrit dans une île formée par les deux bras de la Dronne. Nous laissons le bras sud à notre gauche au passage ;




et poursuivons par le nord pour une petite visite :








Nous profitons de l’escale pour aller repérer le passage en sortie ouest de la cité.
Le premier déversoir sera pris sur sa gauche le long du mur d’enclos de l’île et le deuxième par une belle passe à canoë aménagée sous le pont coudé – XVIe siècle :





Le Moulin de Valeuil est facile avec le niveau d’eau du jour :





Puis tout doucement nous arrivons à Bourdeilles où nous avions prévu de faire notre bivouac. L’arrivé dans le village par la rivière est très belle :





Nous nous arrêtons en rive droite après le barrage sur une petite pelouse arborée en bordure d’une aire de camping-cars.
C’est un endroit clos par un ancien muret, calme et tranquille, au bord de l’eau :







Cette étape du jour était bien sympa avec du soleil et des nuages mais pas de pluie. On aura remarqué beaucoup d’arbres dans le lit de la rivière et les barrages sont faciles à passer sans grandes difficultés sur une Dronne offrant un beau parcours manœuvrier et semblant s’élargir après Brantôme…

Lundi 10 juin 2013 : Bourdeilles > les Bigoussies : 27.300 km

(Bourdeilles – Lisle – Tocane-Saint-Apre – les Bigoussies)

Premier barrage du jour à la Rigeardie. C’est sans difficulté aucune par un filet d’eau qui s’écoule en rive droite avec un passage plus ou moins long… selon que l’on reste collé dans les cailloux affleurant… hein les amis ?! ;)






des images qui bougent

Plus bas, le Gué de l’Éperon :





des images qui bougent

Le Château de la Barde, début du XIXe siècle ;



et juste après, le barrage du même nom que l’on franchit par une passe aménagée en rive gauche. En sortie nous avons discuté un peu avec le propriétaire du moulin. Pratiquement tous les moulins sur le cours – et le barrage qui va avec – sont propriétés privées. L’entretien, pour que l’eau puisse s’écouler normalement, incombe au propriétaire qui doit prévoir également un passage (canoës) pour la libre circulation…





des images qui bougent



Le Moulin de Rochereuil :




Le Moulin de Renamon. Beaucoup de barrages se passent par une sorte de « gouttière » aménagée sur le déversoir. Il faut quelquefois la chercher un peu car peu visible dans le courant :





des images qui bougent

Pour la pause de midi nous nous arrêtons en rive droite juste avant le pont qui relie Lisle à la Monerie :





À la reprise, et après repérage, nous passons le barrage par un demi-portage vers l’aval de la retenue pour rattraper le cours. Une partie du déversoir semble avoir été emportée par une crue (?) et la veine actuelle nous a parue encombrée de cailloux. Dans le doute nous avons choisi de préserver le matériel. Seul Jacques et son 4×4 sont passés sans problème :





Le Moulin de Jansou :

des images qui bougent

Au barrage de Tocane-Saint-Apre une vraie passe à canoë est aménagée mais, comme bien souvent, il faut jouer les cantonniers pour pouvoir l’utiliser :





Au Moulin du Pont en sortie de village : une petite visite à la Chapelle Notre-Dame-de-Perdux – XIXe siècle :



Un peu plus bas au Moulin de Salles le franchissement se fait à la main dans les cailloux en rive droite :




Les barrages, nombreux depuis ce matin, se succèdent rapidement sur le parcours mais ne sont jamais insurmontables même si quelquefois la manip est un peu physique !
Le Moulin de Bressol :




Le Moulin Neuf :




Le Moulin de la Pouze avec un mini-portage en berge droite :







C’est bon, on a assez donné pour aujourd’hui. Il n’est pas loin de 17 h et le premier coin sympa qui se présente sera le bon pour le campement du jour.
Au détour d’un méandre nous faisons halte en rive gauche dans une peupleraie bien accueillante avec sa terrasse aménagée au ras de l’eau, idéale pour une bonne soirée au calme, à refaire le monde, prendre un bon apéro et l’excellent repas du soir préparé par Fred.
On n’est pas bien là ? ;) :







Mardi 11 juin 2013 : les Bigoussies > Aubeterre-sur-Dronne : 27.100 km

(les Bigoussies – Ribérac – Épeluche – Aubeterre-sur-Dronne)

Donc, pour changer et histoire de nous échauffer un peu, on entame la journée par le passage du barrage au Moulin des Bigoussies 400 m après la mise à l’eau du matin. Mais rien de bien compliqué :





Un autre barrage un peu plus loin passé à la main côté gauche :



La Tour château de la Rigale sur la commune de Villetoureix (24) dont l’origine de la construction remonte à la période gallo-romaine. Aménagé durant les XVIe et XVIIe siècles le château fera l’objet de dernières transformations au cours des XIXe et XXe siècles. C’est actuellement une propriété privée :



Aux abords du camping à Ribérac nous nous arrêtons au pied du pont pour faire un peu de ravitaillement dans les commerces locaux avant de passer le barrage en sortie de ville. Il y a là un bon déversoir qui descend bien où on enfourne copieusement à l’arrivée dans les bulles :







Le barrage à la Rivière où l’on passe en tirant les bateaux sur le radier ;





Quelques centaines de mètres plus bas, le barrage à Rodesol ;




et Papalis où on s’arrête juste après pour la pause de midi :







À la reprise en début d’après-midi on arrive à Épeluche. Le barrage en amont est passé « à la main » complètement dans le fond de l’ouvrage en rive droite :




Entre Épeluche et le Bourg-du-Bost un autre ancien barrage passé dans les cailloux pour prendre à droite un bras qui contourne le bief d’un ancien moulin :




Au Moulin de Ribérac on a voulu laisser à droite par le déversoir le bras de contournement pour tenter le passage tout droit par le bief ;



cette partie est par endroit encombrée d’arbres abattus qui obligent à des manips pour les passages des bateaux.
De plus on arrive au fond du bief où il n’y a pas d’autres possibilités que de passer dans la propriété pour rattraper le bras en sortie. Merci au passage au propriétaire, mais à éviter si possible…




Nous sommes maintenant pratiquement dans l’extrême ouest du département de la Dordogne. Dans la dernière « ligne droite » vers Aubeterre (Charente) le milieu de la rivière marque la frontière entre les deux départements :



2,5 km avant l’arrêt de la journée nous passons la dernière difficulté au Moulin neuf.
Attention, ici il vaut mieux bien un repérage du franchissement et ne surtout pas s’embarquer dans la passe à canoë sans s’être assuré du niveau d’eau à la réception. La passe est très haute en sortie ! Cela peut être amusant l’été, avec un kayak de descente ou de location à vide, mais un peu moins avec des bateaux lourds équipés pour la randonnée…
Nous empruntons un passage aménagé avec des palettes :








Pour finir aujourd’hui nous arrivons au camping municipal*** d’Aubeterre avec tout ce qu’il faut pour une bonne douche, un peu de détente et une bonne restauration :






Mercredi 12 juin 2013 : Aubeterre-sur-Dronne > 3 km ap. Parcoul : 23.600 km

(Aubeterre-sur-Dronne – Bonnes – Saint-Aulaye - Parcoul)

Avant le départ nous partons faire quelques courses dans le village.
Le château d’Aubeterre dont les origines remontent au XIe siècle :



Du camping, Fred et moi préférons faire un portage pour une mise à l’eau en dessous du barrage. C’est plus cool de bon matin… Jacques est d’humeur joueuse et décide de passer avec sa montgolfière :





des images qui bougent

Le contournement, par le bras sud, de l’usine électrique de Nadelin avec un beau soleil en prime en rive droite du barrage :





200 m après Bonnes le barrage du Flamand nécessite selon son équipement un portage facile par le pré en rive gauche ou la possibilité d’un franchissement direct sur le déversoir :







des images qui bougent

À Saint-Aulaye nous nous arrêtons pour la pause de midi juste après le déversoir qui alimente le bras nord de l’île :





À la reprise nous remontons un peu à contre pour revenir sur la retenue où, avec un portage court sur la pointe de l’île, nous rentrons dans le bras nord :






Oie cygnoïde - Anser cygnoides

À Chenaud, le barrage du Logis se passe directement sur un joli déversoir. On embarque pas mal d’eau à l’arrivée ! :





Aux Saillants, c’est encore au choix de chacun : par portage ou… à la barbare :D:






Au Moulin d’Auziac, portage obligatoire par manque d’eau partout sur le déversoir :





Au Moulin de Parcoul la hauteur du radier et le niveau d’eau ne laissent pas d’autre choix qu’un franchissement à la main en rive gauche :






Indéfiniment, les barrages se succèdent…
Peu après Parcoul, le Moulin de Pommier est facile :




Nous nous arrêtons un peu plus loin en rive droite dans une peupleraie pour le bivouac du soir. La berge est un peu haute pour sortir les bateaux mais personne ne semble vouloir aller plus loin. On peut dire que tous en avons assez pour aujourd’hui… L’endroit n’est pas extraordinaire mais acceptable. On ne peut pas toujours tomber sur des coins de rêve pour le campement :






Jeudi 13 juin 2013 : 3 km ap. Parcoul > Coutras : 33.300 km

(Parcoul – Saint-Aigulin – La Roche-Chalais – les Églisottes - Coutras)

En descendant toujours plus vers le sud-ouest on navigue maintenant à la frontière des départements de la Dordogne et de la Charente-Maritime. Nous arrivons, à Champagne, au premier barrage de la journée. On le passe à la main sur le côté gauche de la rivière :





Moins de deux kilomètres plus bas le barrage des Herveux est plus problématique. Avec son pneumatique Jacques passe directement. Vus la hauteur et nos chargements nous préférons passer nos rigides par la construction maçonnée ; pas pratique du tout d’ailleurs ! :







Le temps n’est vraiment pas au beau ce matin et nous décidons de nous offrir un bon café en passant à Saint-Aigulin et faire un peu de ravitaillement pour manger chaud à midi. Quand nous reprenons la navigation il se met à pleuvoir copieusement :




Maintenant il ne nous reste plus qu’à trouver un endroit abrité. On ne laisse pas passer la première occasion... sous un pont ! Debouts, mouillés et en plein courant d’air : inconfort garanti !





À la reprise le temps est partagé entre le pluvieux et le moyennement ensoleillé :


Cygne tuberculé - Cygnus olor

Toujours sous la pluie nous passons rapidement le barrage des Églisottes par un bon déversoir :




Le barrage de l’ancienne papeterie de Monfourat est le dernier obstacle sur la Dronne avant notre arrivée finale.
Une sortie pour un portage obligatoire est possible juste en amont de l’ouvrage en berge droite. Ensuite il suffit de tirer dans l’herbe les embarcations en contournant la passe à poissons sur une bonne centaine de mètres :








Après ça descend tout seul. On se laisse glisser sur les derniers kilomètres pour atteindre en fin d’après-midi le camping de Coutras. Il n’est pas ouvert mais nous pouvons y pénétrer par la berge juste avant le pont :



Bien sûr tous les bâtiments de service à l’intérieur (douches-sanitaires) sont fermés. Nous nous installons à l’entrée autour du bâtiment d’accueil. Ce soir, entre copains, on fêtera ce beau voyage avec tout ce qui va bien… et, grand luxe ! on aura même droit à des crêpes aux chocolat et au rhum. C’est pas le top çà ?





Le lendemain, avant le départ, on laisse sécher le matos rincé la veille :




La Dronne est une autre très belle rivière à découvrir dans nos régions. Certes il doit y avoir tout de même au tour de 70 barrages ou seuils, certains infranchissables d’autres plus ou moins facilement en fonction de la saison et des niveaux d’eau. De toutes façons tous les obstacles, quelles que soient les rivières, doivent être reconnus à leur approche. Mais ici les franchissements possibles n’ont rien de compliqué voire faciles et ludiques. En dehors de çà la Dronne laisse de fabuleux instants de navigation en pleine nature que vous ne pourrez pas oublier.

:) trois minutes de détente

@ plus

walas - 20 déc. 2013
82 messages
Merci Michel 66 pour cette descente magnifique ! A mettre de côté comme projet pour une future destinations en kayak pour ma part.
Pourrez-tu préciser la catégorie de la descente. Si , elle est accessible aux débutants ?

jak91 - 20 déc. 2013
379 messages
Super, un vrai travail de pro, génial les incrustations des films à Fred; ça fais vraiment plaisir de revivre cette agréable descente malgré le peu de soleil que nous avons eu et qui a été malheureusement la tendance de ce printemps.

@ walas : la rivière par elle même ne présente pas de difficulté technique, la dangerosité vient surtout des arbres en travers et des nombreuses retenues mal ou pas du tout aménagées, qui demandent une attention particulière ( repérages minutieux) .
Les photos faites sur cette descente présentent des conditions de navigation avec un bon niveaux d'eau ce qui rend le passage des retenues plus aisé, avec moins d'eau, le plaisir de la descente doit en pâtir sérieusement !.
Mais si tu est habitué à des cours d'eau encombrés et que tu maitrises le système D évolutif, alors pourquoi pas.

Adishatz - 20 déc. 2013
26 messages
Superbe,
dire que c'est à une centaine de km de chez moi et que je n'avais pas ça dans les projets de navigation futurs rolleyes

fred19 - 20 déc. 2013
22 messages
Hello Michel, cette fois c'est grandiose, du travail de pro!

J'ai passé un bon moment, souvenir !

Vivement la prochaine rando.

Bon Noël à Tous

jak91 - 20 déc. 2013
379 messages
Salut Fred , géantissime notre Michel du sud , mais il fallait bien ça pour faire honneur à tes crêpes .
Il faut en effet que l'on se prévois une autre descente gastronomique.

fred19 - 21 déc. 2013
22 messages
Salut jack,

C'est quant tu veux, même sur un WE de 2 ou 3 jours et cela sera avec grand plaisir. j'ai quelques nouvelles recettes à tester comme des aiguillettes de canard au miel !

Bonnes fêtes de Noel

Claude41 - 22 déc. 2013
183 messages
Bonjour,

Un très beau et complet reportage Michel ! avec un topo des vidéos en prime.
Belle nature , mais trop de seuils et embâcles pour moi et mon grand bateau qui enfourne au moindre seuil.

Claude

Michel66 - 23 déc. 2013
34 messages
Il y a toujours moyen de se sortir d'un mauvais pas quand on est à plusieurs.
Avec son étrave marquée mon bateau enfourne beaucoup également à l'arrivée des déversoirs dans les bulles. Ça mouille bien et je rempli parfois tout le cockpit. D'ailleurs je dois toujours revoir l'étanchéité de la trappe avant, nulle et mal conçue.

Jacky : je pensais à un truc : il faudrait que tu supprimes un de tes gros bidons sur ton Sea Eagle et que tu installes à la place un petit frigo pour le garde-manger :D
Fred : continue à réfléchir à de nouvelles recettes. On s'organisera sur le terrain avec ce qu'il faut ;)

jak91 - 23 déc. 2013
379 messages
Pas bête ça , j'avais également pensé à emmener un four, et un groupe électrogène pour alimenter tout ça :D

Bonnes fêtes et à 2014 pour de nouvelles aventures . :)

wlad - 03 oct. 2019
1 messages
Merci pour ce parcours détaillé et imagé, ça donne vraiment envie !
Et c'est du boulot alors double merci.

Michel66 - 21 oct. 2019
34 messages
Merci wlad. C'est aussi fait pour ça ; donner envie et se lancer.
Consulte bien le forum pour te nourrir des expériences de chacun et n'hésite pas à te jeter à l'eau.

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